Paris : La pollution sonore
Publié le 23 février 2014 par
Par Vanessa Léger et Florence Philie (2010)
Paris : La pollution sonore
L’environnement est un sujet qui est de plus en plus abordé par tous les habitants de la planète Terre. Nous avons trouvé une autre sorte de pollution qui nuit indirectement à l’environnement : la pollution sonore.
Vous vous demandez sûrement comment la pollution sonore peut affecter notre planète. Il s’agit tout de même du bruit et comment le bruit peut-il nuire à l’environnement et non seulement à nos oreilles ?
Pour cette recherche, la ville de Paris s’est avérée être un bon exemple. Le bruit est la nuisance la plus difficile à supporter pour tous les habitants de Paris ; les trains, les travaux publics, le ramassage des ordures ainsi que le trafic automobile sont de simples exemples des nombreuses causes de cette pollution.
De plus, la pollution sonore ne vient jamais seule. Les travaux publics, qui sont généralement exécutés par de gros engins, nuisent de façon remarquée à l’environnement. En plus de détruire une partie de l’environnement en s’adonnant aux activités industrielles, les travailleurs utilisent des outils polluants.
Pour préciser, laissez-nous vous donner un autre exemple que tout le monde connait : le bruit des automobiles… Les automobiles sont en fait de grands pollueurs, comme vous le savez. Voyons voir à quel point celles-ci peuvent nuire à notre planète. À Paris, il y a environ 6 000 voies de criculation qui traversent cette ville, soit 1 700 km de rues, d’avenues, de boulevards sur lesquels circulent environ 6 millions de voitures par jour. Pas très écologique tout ça…
Tout compte-fait, toute cause de la pollution sonore semble entraîner une montagne d’autres problèmes nuisibles à l’environnement. Paris a décidément entrepris des démarches afin d’en arriver à des solutions concrètes, ce qui réduira la pollution sonore et chimique. En voici un exemple : pour ce qui est des bruits de la route, la Mairie de Paris propose le renouvellement des revêtements de la chaussée par des matières réduisant le bruit causé par le passage des véhicules. Cela va peut-être réduire la pollution sonore, mais va sans aucun doute augmenter la pollution due aux exécutions des travaux !
Laissez-nous vous proposer des solutions qui réduiraient la pollution sonore et qui seraient le moins possible néfastes pour l’environnement. La ville de Paris devrait créer plusieurs réseaux de transport en commun permettant de réduire le nombre d’automobiles circulant sur les routes. Les Parisiens se plaindraient beaucoup moins du bruit, les véhicules étant en tête des sources de bruit. À long terme, les travaux qui auront servi à la construction de ces réseaux de transport en commun seraient très bénéfiques. Un des problèmes dont nous avons parlé au tout début du texte était le ramassage des déchets. La ville de Paris fait sortir 435 bennes tous les jours afin de collecter les déchets parisiens. Voici une solution trouvée par cette ville et qui nous plait beaucoup : « Paris s’est résolument engagée dans une politique de réduction de la pollution et du bruit que le ramassage génère. Elle a choisi la solution du Gaz Naturel Véhicule ». Ce gaz est en fait composé principalement de méthane (CH4) qui ne possède qu’un atome de carbone par molécule. Sa combustion dans un moteur thermique produit ainsi 25% moins de CO2 (gaz contribuant à l’effet de serre) par rapport aux carburants classiques. Ce gaz naturel n’émet ni odeur ni fumée. On note une réduction de 50% des vibrations qu’émettent les moteurs des camions en utilisant ce gaz naturel. Cela réduit donc la pollution sonore.
Vous pensiez peut-être tout connaître de la pollution de l’environnement. Il faut se méfier de tout, mais surtout faire attention à la préservation de l’environnement à chaque fois qu’on le peut.